Andreas Spector

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RÖHRIGgranit invite pour un café de l’Avent

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Une bonne tradition. Depuis la fin des années 80, Röhrig Granit invite les associations à prendre un café de l’Avent. Gerhard Röhrig, le principal responsable, a organisé l’événement d’avant Noël dans l’entreprise pour faire plaisir aux clubs. Marco Röhrig, le jeune patron, continue cette tradition. Aujourd’hui, le petit cercle est devenu un grande table : 24 représentants de clubs et dirigeants locaux ont pris place pour participer a cette fête. Pour la famille Röhrig, l’échange avec les associations est très important. Elle remercie tous les bénévoles et tient à rendre hommage aux bénévoles. Les associations invitées à cette occasion reçoivent une subvention pour leur associations. M. Röhrig a expliqué que le maire Rainer Burelbach était également invité, mais qu’il ne pouvait pas venir. Un don plus important doit lui être soumis pour les projets prévus de l’association citoyenne, a communiqué Röhrig.

Source : Starkenburger Echo, édition du 7 décembre 2018

RÖHRIGgranit informe les citoyens sur les projets d’expansion

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Le 20 novembre 2018, quelque 250 citoyens ont répondu à l’invitation à la soirée d’information de RÖHRIG granit. Le sujet était l’extension prévue de la carrière vers le sud. Les plans concrets ont été présentés au centre
communautaire du village de Sonderbach. Les habitants, les voisins, les fournisseurs et les clients de la région ont également eu l’occasion de discuter de leurs questions directement avec des représentants de l’entreprise et
d’autres experts.

Et voici comment se présente la planification : les travaux préparatoires nécessaires ayant été effectués ces dernières années, la demande d’extension devrait être
déposée au printemps 2019. Avant de soumettre la demande, il était nécessaire d’informer le public intéressé sur le projet et de clarifier leurs questions et préoccupations les plus pressantes. Au début de la soirée, Marco Röhrig, directeur général, a souhaité la bienvenue aux invités et souligné l’importance du projet
d’expansion pour l’entreprise. Afin de pouvoir poursuivre la production au niveau actuel, une extension est nécessaire. Grâce à la consolidation du site, les 90
emplois, l’approvisionnement en matières premières de la région et l’approvisionnement des clients avec des produits de haute qualité de l’usine de finition pourraient être assurés pour des années.

Martin Buschmann, chef de projet de la société d’ingénierie SST d’Aix-la-Chapelle, a ensuite présenté la planification concrète de l’extension. En conséquence, une superficie supplémentaire de 6,2 ha est prévue en direction du sud.

Dans la deuxième partie de l’événement, les citoyens ont eu l’occasion de s’informer sur l’entreprise, le projet d’expansion et les activités dans les domaines de la technologie de dynamitage, poussière, bruit et protection des espèces aux divers stands d’information. En outre, l’entreprise a expliqué toutes les mesures visant à réduire les émissions de poussières et de bruit ainsi que les mesures supplémentaires visant à maintenir les vibrations au même niveau ou à un niveau similaire à celui actuel. Des représentants de l’entreprise et des experts externes, y compris de l’Association pour la conservation de la nature (Nabu), ont répondu aux questions illustrées sur les différents tableaux d’information. De nombreuses personnes intéressées ont profité de l’occasion pour un échange personnel intensif – avant, pendant et après l’événement. Parmi les sujets abordés figuraient le mesurage des vibrations et des émissions de poussières, la planification à long terme de l’entreprise et les questions de protection de la nature. Si vous n’avez pas pu assister à l’événement, vous trouverez ici les informations les plus importantes sur le projet. À la fin de l’événement, M. Marco Röhrig a de nouveau proposé de poursuivre l’échange avec les citoyens s’il y avait d’autres questions concernant l’élargissement.

Vous trouverez les coordonnées ici :

steinbruch@roehrig-granit.de
Téléphone +49 6252 7009-0

Personnes à contacter :

Horst Gottmann, Stefan Koob et Marco Röhrig

RÖHRIGgranit veut élargir sa carrière

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L’entreprise Röhrig Granit de Sonderbach prévoit d’étendre sa carrière vers le sud. C’est ce qu’a déclaré Marco Röhrig, directeur général, lors d’une conférence de presse mardi. La raison de l’expansion ? « Sinon, nous aurons épuisé la capacité de la carrière d’ici quelques années », a déclaré M. Röhrig. Il représente la cinquième génération à diriger l’entreprise familiale avec ses 90 employés actuels. Environ 6,2 hectares de forêt de protection doivent être déboisés pour le projet et des sentiers de randonnée pédestre doivent être aménagés. « Nous reboiserons la forêt ailleurs et nous nous occuperons de la relocalisation des sentiers de randonnée », promet Marco Röhrig.

Un maximum de deux dynamitages par semaine

La distance jusqu’à la localité de Juhöhe au sud de la carrière doit également rester d’au moins 400 mètres. « Il ne s’agit pas d’augmenter la production – l’exploitation minière doit se poursuivre au même niveau qu’auparavant », a souligné M. Röhrig. Le nombre d’explosions et le nombre de camions qui transportent les agrégats resteront également identiques, de même que le niveau sonore. « Comme auparavant, il y aura au maximum deux explosions par semaine », a déclaré M. Röhrig. « En utilisant une nouvelle technologie de dynamitage, nous atteindrons seulement 10 à 15 pour cent des limites de bruit autorisées, et cela devrait rester comme avant », a-t-il ajouté.

POUR LES RIVERAINS

Lors d’une soirée d’information au centre communautaire du village de Sonderbach, le mardi 20 novembre à 18h30, les habitants pourront se faire une idée de l’extension prévue. Entre autres choses, des affiches seront montrées a sur les conditions de la planification et on répondra aux questions des riverains.

Le nouveau site doit fournir du granit pour l’usine de matériaux minéraux de Lampertheim pendant environ 30 ans. Cependant, l’expansion de la carrière implique également une énorme quantité de travail : outre la forêt et les chemins de randonnée, le point de vue « Gerhard-Röhrig-Rast », qui se trouve actuellement au bord de la carrière, devra également être déplacé. Il y a aussi une « mer » de rochers dans la région qui a été désignée monument naturel. « Nous allons également déplacer la « mer » de roches, c’est-à-dire déplacer les pierres à un autre endroit et y créer une « mer » de rochers artificielle », explique Martin Buschmann, ingénieur et spécialiste dans le bureau de conseil SST. Il accompagne la demande auprès du conseil régional compétent de Darmstadt. Le projet est prévu depuis 2014. « La demande doit être présentée officiellement au printemps 2019 », a-t-il dit. Toutefois, il faudra probablement encore deux ans avant que la décision finale ne soit prise. En outre, une deuxième mer de rochers dans les environs doit être déclarée monument naturel en tant que remplaçant de la l’ancienne « mer » de rocher.

Aussi la forêt de protection ne doit pas souffrir du développement : en compensation du déboisement de la forêt de protection de 6,2 hectares, d’autres zones au sud, qui n’ont pas encore fait l’objet d’une protection spéciale, seront désignées forêts de protection. « Heureusement, la forêt n’est pas un terrain de reproduction, mais seulement un terrain de chasse pour les chauves-souris », a-t-il expliqué. Depuis des années, l’entreprise travaille également en étroite collaboration avec Nabu Heppenheim – aussi pour protéger la faune particulière de la carrière.

Selon M. Buschmann, la carrière de Sonderbach est très importante pour l’entreprise car elle permet d’y extraire une qualité de granit unique. Et Röhrig a ajouté : « Ce n’est pas important pour la construction routière, mais les produits de niche deviennent de plus en plus importants pour nous – par exemple, pour une utilisation dans le caoutchouc, les stratifiés, les matériaux composites, la pâte à modeler pour enfants ou comme base pour aquariums. »

« Nous publions régulièrement des informations sur notre site Internet, nous nommons une personne de contact pour les citoyens et nous voulons également mettre en place une boîte où les habitants et les voisins peuvent poser des suggestions et des questions », explique Florian Weisker, directeur de l’agence de communication Vom Hoff, qui est responsable des relations publiques sur ce projet. « Nous prenons au sérieux notre responsabilité en tant qu’entreprise familiale dans la région – contrairement aux carrières des environs, qui sont toutes entre les mains de grandes entreprises, nous promouvons les structures culturelles et sociales dans la région », a déclaré Röhrig. Vous trouverez de plus amples informations sur notre site web sous Projets d’extension à Sonderbach.

Foto: Sascha Lotz | Quelle: https://www.echo-online.de/lokales/bergstrasse/heppenheim/heppenheim-rohrig-granit-will-steinbruch-erweitern_19167934

Les élèves de l’école Eichendorff à Kirschhausen visitent la carrière

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Partir en excursion juste après les vacances, c’était vraiment au goût des filles et des garçons de la classe 2a de l’école Eichendorff à Kirschhausen. Par beau temps, le groupe, accompagné de l’enseignante Angelika Klammt et de l’éducatrice spécialisée Ramona Maas, s’est rendu à pied à la carrière de la famille Röhrig à Sonderbach – une excursion pédagogique qui fait partie du programme standard du lycée.

Birgitt Bauer attendait déjà les élèves, puis les petits étaient habillés. Chacun des enfants était équipé d’un gilet jaune vif et d’un casque, et finalement ils sont allés au cœur de l’aventure de la carrière. En passant devant des machines et des véhicules gigantesques, qui ont étonné les enfants, elle est montée.

Les élèves de l’école primaire ont également été impressionnés par les parois abruptes de la carrière : « Boah, c’est si haut », ils ont été stupéfaits. Bauer voulait savoir quel âge avait le granit. Les doigts bondissent : « Dix ans », « 50 », « 20 000 ans », estiment les enfants. Même si les filles et les garçons y réfléchissaient, ils se trompaient. Le granit est âgé de 320 à 340 milliards d’années – et donc plus vieux que les dinosaures, dit Bauer. Elle a expliqué que le granit s’est formé après une éruption volcanique et qu’il était presque aussi dur qu’un diamant. Sarah se souvint qu’elle avait étudié en classe une pierre qui s’effritait facilement – mais ce n’était pas du granit, mais du grès, que l’on trouve aussi dans la région. Nous avons marché jusqu’à une énorme pile de gravillons. Là, la joie était grande quand les enfants ont appris qu’ils pouvaient maintenant glisser à cœur joie. Il ne fallait pas qu’on le leur dise deux fois. Et après que tout le monde eut vidé ses chaussures pour la énième fois, on les enleva sans plus tarder et on continua en chaussettes. « Hé, ça chatouille », disaient les enfants. Du gravier au lieu d’un bain de boules. «  Assez poussiéreux », s’est plaint une fille. Dziuga, huit ans, a même descendu la montagne de gravier en faisant une roue et Jonna (8 ans) a pensé que c’était une bonne idée « que nous ayons tous enlevé nos chaussures ». Finalement, tout le groupe a été admis dans une énorme pelle excavatrice – toute la classe a pu s’y asseoir facilement.

Ensuite, nous sommes entrés dans le concasseur de pierres, qui concasse même d’énormes blocs de granit en petits morceaux. Si les morceaux arrachés sont trop gros pour le concasseur de pierres, ils sont écrasés dans la carrière avec une boule de fer pesant environ sept tonnes au début de l’année. Au fil des mois, cette boule s’use de plus en plus et ne pèse plus que la moitié à la fin de l’année.

Les jeunes grands-ducs se mettent à l’aise sur les machines

La nature et l’environnement sont des sujets importants à l’école de l’environnement de Kirschhausen. Et il y a des visites à la carrière, à un vestige de l’histoire géologique où vivent de nombreuses espèces animales rares, comme le grand-duc, le sonneur à ventre jaune et la coronelle lisse.

Les filles et les garçons ont admiré Bauer avec stupéfaction lorsqu’elle leur a raconté que le matin, on peut de temps en temps y découvrir un jeune hibou grand-duc sur une des machines. Selon Bauer, les animaux se sont adaptés aux travaux et aux explosions et se sentent à l’aise. Sinon, ils ne s’y reproduiraient pas année après année.

Refuge pour reptiles agiles

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Jette, 12 ans, est curieuse. Le biotope qu’elle vient de construire avec les autres enfants sera-t-il vraiment la maison des lézards des murailles et des lézards des souches au printemps prochain ? Elle veut absolument revenir et voir par elle-même. Paul est enthousiaste à l’idée de jouer et de travailler dans la nature. Jule, âgée de dix ans, qui fait une pause avec Marie, plaisante en disant : « Toujours ce travail ». Les autres ramassent des pommes.

Le terrain en forte pente de la Werkstraße de Sonderbach, que Röhrig Granit a acheté, s’étend sur environ 600 mètres carrés. La carrière n’est pas agrandie ici. Avec le Nabu, l’entreprise veut une fois de plus donner un exemple en matière de protection de la nature et de durabilité. Mardi, des aides travailleurs âgés de sept à douze ans contribuent à faire de ce grand pré un paradis pour les animaux et les plantes. C’est l’heure de l’atelier pour les enfants.

Un chaos de pierres et de branches soigneusement entretenu

Il y a eu plus de 180 inscriptions au cours de l’été pour cette expérience de vacances d’une semaine, mais seulement 85 enfants peuvent participer en raison du manque de place. Ceux qui n’en ont pas eu l’occasion ont eu la possibilité de passer deux journées passionnantes et instructives sur le thème de la nature et de sa protection pendant les vacances d’automne. Au total, 33 filles et garçons du district étaient présents avec enthousiasme. Günther Hagemeister de l’Association pour la protection de la nature (Nabu) de Heppenheim et l’équipe Röhrig, composée de Birgitt Bauer, Marco Röhrig, Jovita Röhrig, Mario Helfert, Rüdiger Hamann et Nicole Schroeter.

Là-bas, ils devaient d’abord trimballer des pierres et des petits troncs : non loin de la colonie d’abeilles et des pommiers, un habitat pour toutes sortes de petits animaux a été créé. Ce qui à première vue ressemble à un amas de pierres et de branches jetées ensemble est construit avec beaucoup de savoir-faire. Car si on fait quelque chose pas bien, les lézards n’acceptent pas le terrier et restent à l’écart. Des îlots de chaleur ont été créés, une sous-structure de sable et de gravier rocheux pour la ponte des œufs, des mottes d’herbe pour un hivernage sans gel. Sur le bois, les petits animaux poïkilothermes agiles sont mieux camouflés. À l’extérieur, des plantes sont semées qui fournissent de la nourriture aux papillons. Au cours de sa traversée du grand pré, Hagemeister fut très surpris de voir le rare Azuré des paluds y flotter. On les trouve généralement là où il y a des prairies humides. Le petit papillon se caractérise par le fait qu’il pond ses œufs dans les bourgeons des pimprenelles ; les larves tombent au sol, sont portées par les fourmis dans leur tanière et s’y nourrissent du couvain des fourmis.

Les enfants ont planté quatre arbres ensemble pour créer un pré-verger : un poirier, un pommier, un cerisier et un cognassier. D’autres suivront en novembre. Il y a de moins en moins de prés-vergers, explique M. Hagemeister.

L’après-midi, les enfants pressaient eux-mêmes le jus des pommes qu’ils avaient récoltées eux-mêmes. Dans les mois à venir, d’autres « coins sauvages » devraient être créés. En septembre, une délégation du ministère de l’Environnement de Hesse a examiné le terrain, l’a trouvé approprié et a loué l’engagement conjoint de Nabu et de l’entreprise.

Ça sert d’exemple

Günther Hagemeister explique que la carrière de Röhrig a été pionnière dans toute l’Allemagne en ce qui concerne la protection d’une carrière active en tant que zone de HFF – un habitat flore faune – et pour la conciliation entre exploitation et protection de la nature. Qu’il s’agisse du hibou grand-duc ou du sonneur à ventre jaune, pour lequel les enfants ont créé trois bassins, les espèces animales protégées témoignent de son efficacité. Entre-temps, certains opérateurs de carrières ont fait de même. Ils se sont également rendu compte que les protecteurs de la nature ne sont pas des ennemis – et vice versa. Hagemeister lui-même trouve la vue sur l’histoire de la terre passionnante qu’offre une telle carrière. (rid)

Mardi matin, après avoir pris le petit-déjeuner ensemble, nous avons d’abord fait des choses, y compris des nichoirs, qui ont ensuite été accrochés. Puis nous sommes allés dehors.

 

Source : https://www.echo-online.de/lokales/bergstrasse/heppenheim/refugium-fur-flinke-reptilien_19112565
(numéro du 12 octobre 2018)

Prix pour notre sécurité avec système

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Notre association d’assurance responsabilité patronale propose un audit des systèmes de gestion de la santé et de la sécurité au travail. Comme nous disposons depuis des années d’un bon système de santé et de sécurité au travail, il était temps de le systématiser et de le structurer. L’objectif était d’intégrer la santé et la sécurité au travail dans nos systèmes de manière analogue à nos systèmes de management ISO 9000 et EMAS. Deux employés de notre association d’assurance responsabilité patronale ont examiné notre système et en sont venus à une décision positive. Un certificat a été présenté le 10 août 2018.